Desde el Jardín de Freud

Fidèle à notre tradition de proposer pour chaque numéro du Jardin de Freud une question mobiliser le désir des lecteurs et des amis du magazine, et de fournir à la fois la promotion de la pensée psychanalytique quant à la compréhension du sujet et de liens sociaux contemporain, numéro 16, nous présentons aujourd'hui a tourné autour de la question de la vérité et de ses effets.

Cette question est pertinente à la clinique parce que le sujet des souffrances, une fois installé sur la guérison de l'appareil, d'une façon ou d'une autre Intuitifs que la souffrance est liée à la vérité que son symptôme articule avec elle et que cette trahit de se poser à un moment, un lieu et dire inattendue, et à un auditeur apparemment mal. Même si de faire appel à la tricherie ou le mensonge, il y aura surpris que le transport est aussi une vérité. Mauvais ou pas, le sujet assume son expérience clinique avec la vérité que l'horizon de votre recherche et clé pour transformer leur souffrance, alors même que voulait pas savoir quoi que ce soit à son sujet. Dans le même temps, les effets associés aux effets curatifs de la vérité. Peut-être cela est la raison pour laquelle Lacan a fait valoir que "si élimine radicalement la dimension de la vérité, toute interprétation est seule suggestion."

D'autre part, la question nous concerne directement aujourd'hui les Colombiens qui assistent à l'expectative des progrès dans les dialogues qui cherchent à mettre fin à un conflit armé de plus de cinquante ans. Au-delà des questions de justice et de réparation, la vérité commence à émerger comme la question centrale, une vérité qui transcende la connaissance, toujours nécessaire, mais insuffisante, même si elle a une énorme quantité de déclarations, des faits, des chiffres, descriptions et même des témoignages; Il sera insuffisante sans avoir la dimension de la vérité, avec le soutien d'un acte d'énonciation impliquant le sujet.